Vous consacrez souvent des budgets importants à vos programmes RH (avantages sociaux, rémunération globale, sécurité financière…) pour attirer, engager et fidéliser les talents dont vous avez besoin afin d'atteindre vos objectifs stratégiques.
Pour autant, êtes-vous certains d'offrir à vos collaborateurs les packages qu'ils attendent?
L'écart potentiel entre la valeur de vos programmes, celle perçue par vos collaborateurs, et celle qu'ils attendent est souvent sous-estimé.
L’évolution des nouvelles attentes des nouvelles générations (individualisation, flexibilisation, …) changent le paysage RH et amènent à repenser la stratégie de vos avantages sociaux.
L’insécurité financière est aujourd’hui un sujet d’inquiétude pour les salariés, notamment dans le cadre de leur retraite. Les choix opérés et le mode de communication sont des leviers d’engagement des collaborateurs qui mésestiment ou ne comprennent pas l’importance de leurs avantages sociaux.
Un contrat de retraite doit être un avantage social connu et reconnu par les salariés et un support à la valorisation de votre politique RH.
Très classiquement, lorsque le régime existe depuis quelques années, les assurés n’ont plus conscience de son existence, et il est frustrant, pour l’entreprise et le RH de constater que ce budget consenti par l’employeur est insuffisamment considéré par les salariés.
De plus, le RH est souvent démuni pour communiquer sur le sujet et manque de supports d’information. Il est donc primordial de mettre en place une communication plus concrète et plus lisible des valeurs et des principes qui fondent votre politique de reconnaissance et de protection de vos salariés et ce, sur la durée afin de mettre en lumière toute l’importance de cet avantage social qui contribue aujourd’hui à retenir et attirer les talents, gage de compétitivité et de différentiation.
Nous pouvons vous accompagner à cet effet et contribuer ainsi conjointement à répondre aux attentes et préoccupations de vos salariés concernant la préparation de leur avenir à la retraite.
